Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 19:22

Préambule, les norns sont des créatures humanoïdes, semblable a de grand homme (moyenne de 2m50 voir 3m)

 

Notre petit curieux arriva rapidement à la bibliothèque du Promontoire Divin pour aboutir à son but : trouver d’autres pistes de l’aventure du norn, Jarna Herchelle. En arrivant devant ces vastes étagères, il ne savait où donner de la tête, « Par où vais-je bien pouvoir commencer mes recherches ». Une femme arriva, habillée d’une robe bleu et grise, semblable aux uniformes du prieuré d’où le jeune homme avait chevauché. Elle semblait chercher un ouvrage tout comme lui, elle se permit une apostrophe :

«  Bonjour jeune homme, vous me semblez perdu, mon ouvrage peut attendre encore, je peux éventuellement vous aider ?
Hm … C’est plutôt complexe, je suis tombé hier sur un livre, duquel c’est échappé une note, Je me trouvais de passage au prieuré de votre ordre, enfin … si vous appartenez effectivement à l’ordre de Durmand ?
En effet, je suis une membre, simple chercheuse, on m’a envoyé ici pour reclasser des ouvrages et en ramener un. Donc une note dites vous ? Vous souvenez vous de quel livre elle s’est échappée ?
Oui, cela m’a tellement marqué ! C’était un gros livre, avec une couverture rigide sombre, avec une écriture rouge, presque rouge sang. Et sur la tranche, la reliure semblait dorée. Mais la note me paraissait trop petite pour être une page de ce livre. Néanmoins je n’ai pas prit le temps de tourner les pages pour voir si les noms cités apparaissaient. Sur ce bout de papier, il était écrit recto verso, et il faisait mention d’une certaine famille Niiljah, d’un Herchelle et d’un lieu appelé Garenhoof, vous pensez pouvoir m’aider ?
Et bien nous allons déjà commencer par faire une recherche avec les couleurs peut-être que nous aurons une correspondance ! Vous vous occupez de l’aile ouest, je prends la est. » 

Le temps était long, les livres du promontoires pouvant se compter par millier ! Et la femme semblait si dévoué qu’elle demanda également au siège du promontoire de faire une recherche des livres. Trois jours plus tard, un chercher rapporta un feuillet, disposant de quelques pages, chacune marquée d’un phénix. Le protagoniste à l’initiative des recherches rapporta à sa nouvelle rencontre le contenu des feuilles. Au premier abord il y avait une dizaine de personnages, regroupés, dans une cours apparemment. D’après le récit il semblait y avoir une hiérarchie, le nom d’Herchelle apparut alors comme l’un des commandants accompagné d’un dénommé Kane. Plus loin, y figurait le nom de Lornar, un lieu dans les cimefroides, ravagé par les draguerres apparemment.
Il passa sur le transit de la troupe car le plus intéressant était plus loin. 
Une personne d’une groupe une femme, avait été chargée de placer une manivelle dans une sorte de porte.



Celle-ci était longuement décrite, deux dragons de chaque coté, soutenant le glacier, formant un large trou de la taille d’une tour militaire, et ouvrant leur gueule sur une amas de neige. Une partie du texte était légèrement carbonisé, ils n’y préfèrent pas attention car la suite devenait épique. la troupe eut à affronter une créature antique, puis un troupeau qui la rejoignit après sa mort. Puis la neige retomba faisant d’après le texte un blessé, ou plutôt une, la même femme qui plaça la manivelle. Pour couronner le tout, lorsque la troupe sembla se retirer, une horde draguerre se jeta sur eux, et un des humains se sacrifia. La suite du récit fait mention d’une maison norn, de bière, et de cris, mais rien de plus, la dernière page était déchirée.

« Il semble que ton mystère s’élargisse mon gars, on va encore avoir beaucoup de recherche à faire …
Je ne veux surtout pas vous accaparer, mais je crois que je n’aurai de repos que lorsque j’aurai les réponses à ce mystère de plus en plus curieux. »

Partager cet article
Repost0
14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 17:02

Un jeune homme de passage au prieuré de Durmand trouva, en fouillant dans la bibliothèque, un gros livre poussiéreux. En le tirant, un bout de parchemin, sûrement détaché du livre, tomba à terre. En le ramassant il pu y lire :

Fragment des récits de Jarna Herchelle.

Comme la page ne lui semblait pas longue, il se mit à lire :

« Jour un.

Me voilà partie intégrante de cette famille, les Niiljah. Je n’ai pas encore croisé d’autre norn au fort, alors je me sentais seul en ce jour. J’ai voulu découvrir chaque recoin de de cette tour, ce fort, ou je ne sais quoi. L’architecture était simple, mais robuste. Une large et massive porte de bois, une enceinte intérieure, des remparts, deux tourelles de chaque côté. Et au fond de la cour, une tour plus grande. Elle regroupait un bureau, je crois, en bas, puis en montant nous arrivions à un palier extérieur, menant soit vers les remparts, soit vers un dortoir dans l’autre partie de la tour. En montant encore, je suis arrivé à un troisième palier, permettant l’accès au dernier niveau, restreint il m’eut semblé. Je décidai alors de grimper au-dessus encore, je devinai une plateforme en son altitude maximum. J’arrivai enfin au sommet, et là, je fus stupéfait d’être face à cette vue, qui surplombait totalement le marais d’un côté et le camp des centaures et bandits de l’autre. La vue était sublime, je me teins à l’étendard pour me pencher un peu plus. Je découvris en un instant une nouvelle vue, une nouvelle région. 
Empli de mélancolie, je me suis assis là, et sorti un bout de parchemin avec de l’ancre que j’avais ramené du détroit lors de mes campagnes. Je voulais écrire aux descendants, il y avait plus de descendant humain que de norn, et aucun d’autres races car il était simplement impossible qu’un homme puisse s’accoupler avec une charr ou une asura, cela semble normal.
Cette parenthèse étant faite, je ne savais pas ce que mes lointains cousins faisaient, sauf trois, ma cousine : Bay Herchelle, suivait un enseignement auprès de l’école de magie il me semble, et mes deux cousins, l’un bandit de petite fortune, sévissait au Promontoire Divin, mais je ne l’avais jamais vu. En revanche, Reth, un rôdeur, s’était engagé pour les services secrets humains, qu’il m’avait dit. Nous nous étions rencontrés dans le nord, durant un combat aux côtés des kodans. Il était seul, nous étions quatre et les kodans une vingtaine. Son adresse à l’arc me semblait extraordinaire, un petit arc d’écailles de Jormag, comme mon espadon, rapide et précis et son loup de compagnie, encore sauvage, semblait être un allié redoutable. Nous avions pris la soirée après le combat pour échanger, et nous avions découvert à ce moment notre filiation. J’avais combattu avec un autre descendant. 
La lettre que je lui rédigeai était courte, je savais qu’il n’aurait pas le temps pour lire une longue missive, mais le nécessaire y était ! J’avais en effet décidé de parler de lui à la comtesse et aux membres de la famille Niiljah. Avant de l’inviter cela me semblait en effet nécessaire.
Un fracas en contrebas me fit sortir de ma concentration, les humains se battaient ! Je restai là sans comprendre et observant une petite quaggan faisant des allers-retours désordonnés entre les protagonistes. Je reconnus Ethan avec son armure noir, les deux autres je ne les connaissais pas. Une dame me rejoignit également et m’informa de leur différend sous couverture d’un entrainement. Je décidai alors de me retirer, tout cela me dépassait. Je me rendis alors dans les plaines, pour pourfendre des centaures et aider les séraphins.



La nuit était tombée, je me relevai avec peine et entendis une discussion, toujours dans la cour centrale. Dame Niiljah, Sir William, Ethan et sa femme, étaient réunis avec la dame qui m’avait parlé. J’entendis le prénom : Elisabeth. Je me rappelai alors ce que Dame Niiljah m’avait brièvement raconté pendant le procès, une ancienne conquête d’Ethan. Il semblait convenir de démission ou réintégration. J’écoutai patiemment sans faire de vagues.

Le dialogue fut long et après que la charte fut signée par cette femme, le couple (je l’avais deviné), Niiljah, la comtesse et William s’étaient retirés. J’attendais alors sur le rempart, faisant le guet, me renfrognant dans ma torpeur habituelle. Je ne sais pas réellement combien de temps se fut écoulé, mais la comtesse m’appela, elle désirait rentrer. En la rejoignant je croisai William, et nous échangeâmes brièvement, suite à une précédente conversation: nous irons combattre des dragons. Je rejoignis ma dame, je devais l’escorter à Garenhoof. Elisabeth nous suivait de loin. Une fois sur place, après avoir échangé sur les événements, nous nous sommes assis, et avons parlé. 
Ce que j’appris à ce moment là, je ne l’écrirai pas, et l’enterrerai avec moi si je venais à mourir. Après cette soirée, je me sentais encore plus impliqué, et ne voulait pour rien au monde revenir en arrière, mon âme de norn était engagée pour la cause des Niiljah. Ce premier jour, fut bien rempli, j’avais la sensation de repartir en campagne, et de tout risquer pour la victoire, même si celle-ci me semblait encore abstraite. »

Le lecteur, perturbé par la fin intrigante qu'il venait de lire, se résigna à ne pas continuer sa fouille de la bibliothèque. Il enfourna discrètement le livre dans sa grosse besace et décida de se rendre à la bibliothèque du Promontoire Divin pour essayer d’en apprendre davantage.

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 11:56

Bonjour à tous, me revoilà après une longue absence. Je me suis remis à jouer à un jeux en ligne, Guild Wars 2, sur mer de jade, pour ceux qui connaissent. Et je n'en suis que plus inspiré alors voici mes écrits, vous me donnerez vos avis avec plaisir j'espère !

 

« Venez les enfants, ce soir je vais vous raconter les bribes d’une histoire que vous allez adorer … Celle d’un norn, aussi ambitieux que son peuple est grand. Il s’appelle Jarna Herchelle. Je suis sur que vous vous dîtes avoir déjà entendu ce nom … Herchelle … »

Le conteur subjugue les enfants en créant un nuage de fumée s’élevant du brasier devant lui … 

« La famille Herchelle est en effet connue, car le patriarche, même si il eut des parents rassurez vous, donc le patriarche fut le jour avant la fournaise, et le grand rempart qui divisa autre fois le royaume des hommes et celui des charrs. Ce fut un homme de renom, il s’appelait Reid, et a aidé sur tous les fronts de son époque, aux côtés de l’ancêtre de Thackeray, son père Keiran, ainsi que sa femme Gwen.


Reid Herchelle voyagea dans toute la Tyrie, allant jusqu’au désert de crystal. Et sa route le mena en Cantha puis jusqu’aux terres sauvages d’Elona … Ce fut un explorateur et un réel aventurier, qui un jour en revenant d’une quête en Outre-Monde, fut appelé en renfort par Keiran, pour aider la reine Salma. Enfin vous comprenez pourquoi je devais parler de cela pour parler de notre norn ? Non ? Eh bien les enfants, Reid en voyageant a bien évidement fait bons nombre de conquêtes et de rencontres. Et de l’une d’elle avec une norne, plus petite que la moyenne ceci dit, découle une lignée de norns du nom de Herchelle. Et après des siècles et des siècles, Jarna Herchelle naquit à son tour, dans un monde bien différent de celui de son ancêtre me direz vous, néanmoins, curieux de nature, dès qu’il sut lire, il dévora les écrits de Reid. Quand il fut en âge de s’associer à son esprit totem, la panthère le choisit, et, une épée à la main, il partit de Hoelbrak. Commençant par l’exploration des Cimefroides … Il grandit dans le froid glacial de ces montagnes enneigées, et terrifia bons nombres d’ennemis et monstres en tout genre. Il fut notamment surnommé l’éclateur de minotaures par ses paires. »

Le vieux fit apparaître dans la fumée la tête cornue d’une de ces créatures. Puis d’un mouvement de la main, elle disparut.

« Jarna devint plus fort au fil des années et s’en alla avec les gardes du lion et de fiers norns à la conquête des hautes et lointaines Cimefroides. Il fallait repousser les assauts de Jormag et de ses lieutenants. C’est dans ces territoires qu’il changea son épée pour un véritable espadon, après avoir défait avec ses alliés un lieutenant de Jormag, son espadon fut, avec l’aide des quaggans, taillé dans une écaille du lieutenant en question. Jarna fut un des seuls norns a nouer des liens avec les quaggans, les aidant à repousser la corruption de Jormag. C’était un peuple simple, et ils s’adoptèrent mutuellement … Après ces exploits avec les siens, tous rentrèrent prendre du repos sachant que les terres du nord étaient plus en sureté. Mais Jarna n’en avait pas eu assez … » 

Notre orateur s’arrêta, regarda les enfants puis d’un instinct magique, souleva encore de la fumée, souffla dessus puis l’envoya sur son assemblée …

« J’avais terrassé une foule de lieutenants du dragon, j'avais d’ailleurs fait un tatouage grandissant en leur honneur, une ligne par mort de ces abominations, formant ainsi une forme géométrique complexe, des fils des Svanir et des corruptions, tant d’adrénaline ne m’avait pas suffit … » 

La voix du héros résonna dans leur tête comme s’il parlait lui même … les transportant dans son récit fabuleux.

« Toujours avec l’idée de poursuivre le chemin de Reid, mon ancêtre, je partis dans les contrées de Tyrie, les terres désormais conquises par les charrs, jusqu’aux incroyables jungles de Maguuma et la Côte Ternie,

où les asuras avaient élu domicile dans leur capitale pleine de surprise: Rata Sum. J’étais même passé par l’Arche du lion et la nouvelle capitale des hommes : le Promontoire Divin. Au fond de moi, j’avais toujours trouvé ce nom plutôt prétentieux, mais au centre de la cité, la lumière était si belle que ça en valait la peine. Je revins chez moi, après avoir mené des batailles et des aventures époustouflantes, surtout dans la région d’Orr, dont mes supérieurs m’avaient explicitement demandé un rapport détaillé. Donc je revins a Hoelbrak pour mener à bien ma mission et donner mon rapport, mais après m’avoir surnommé publiquement « le voyageur », le grand maître de la grand loge me demanda d’aller encore au Promontoire Divin. Il s’y passait soit disant quelque chose qui « méritait l’intérêt des norns et leur aide » , m’avait-il dit. Dubitatif je m’y étais rendu le lendemain dans l’après-midi. Mais pendant deux longues heures je n’ai fait qu’errer dans les rues de la cité. »

L’assemblé reprit son souffle en même temps, comme si les mots étaient prononcés de leur bouches à tous.

« Puis peu avant de me diriger vers une Nième taverne, j’entendis les bruits d’un procès, public, au sujet d’une confrérie: la Caravane … je ne sais quoi. Je me dis alors que cela pourrait être une bonne distraction et je m’y rendis, presque le sourire aux lèvres. Une fois que je fus arrivé, mon sourire disparu très vite … Une foule d’humains, je ne savais où aller, puis nonchalamment, j’esquivais la sécurité, je ne sais pas si c’est pas elle qui m’esquiva, par peur de mon imposante musculature de norn, enfin, je pris place tout en haut, et vite, je compris que c’était au dessus du banc des témoins.

J’y ai fait la connaissance de trois humains, deux femmes et un homme. Qui m’aidèrent à comprendre le système judiciaire humain. Mais ce qui nous a permis de discuter encore plus, avec la jeune humaine, elle s’appelait Ambréa Niiljah, était le sujet d’une quaggan, apparemment mêlée au procès. Après celui-ci, son époux et elle-même m’invitèrent à rejoindre leur campement, un fort, dans les collines de Kesse : le refuge noir. Je sentais que plus je parlais avec eux, avec elle, plus j’appréciai ces humains. Traversant les champs de la reine, à la sortie du Promontoire Divin, en panthère, je réfléchissais, et me décida à tenter cette expérience de bon cœur. Arrivé là-bas, les lieux me furent sommairement présentés, mais je m’éloignai et parlai de leur organisation avec une dénommée Luxanna, je ne me souviens plus de son nom à l’heure où je vous parle, leur histoire de procès toisait encore leur compagnie. L’un des leurs partit incognito régler un compte, au sujet de la quaggan, leur capitaine, William, me somma de l’aider à rattraper leur ami, mais un autre intervint et fonça tête baissée sans que les autres puissent le suivre. Je décidai de m’en charger, me transformant et me lançant à sa poursuite. Presque par la force, mais par la raison, nous rentrions au fort. Et là mes amis … quelque chose dont je me souviendrai longtemps dans ma vie de norn se produisit. Leur symbole, une plume d’or, me fut offerte, symbolisant mon entrée dans ce qu’ils appellent alors une « famille »,

et je pense que je n’avais encore jamais été aussi ému que lors de mon amitié avec les quaggans. Et après cela, je suis désormais certain de pouvoir marcher sur les traces de mon ancêtre, Reid. Mais vous connaîtrez le reste de l’histoire, une prochaine fois … »

Tous se réveillèrent, des étoiles dans les yeux, le mythe commençait.

Partager cet article
Repost0
15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 12:54

 

Chapitre I

 

Je me levais une boule au ventre. Je regardai mon écran. Les résultats étaient publiée. "Admis".DSC 0002-copie-1

Je me dépêchai d'aller voir ma mère. Une étreinte comme jamais je ne lui avais faite. J'étais admis, j'avais donc le BAC, ce diplôme tant voulu pour clore ce cycle infernal de scolarité. S'en suivit alors une suite de coup de téléphone presque sans fin, il faut bien mettre toute la famille au courant. Les grands mères, la tante, l'oncle, le père. Ah ! Le père il faudra donc aller chercher ce fameux livret scolaire avec lui. J'en avais aucune envie mais c'était un mal pour un bien, il m'avait promis un appareil photo reflex de semi pro. Un de ces appareil avec lequel on a juste à appuyer sur le bouton et la photo est magnifique toute seule. Rendez-vous à Porte Dauphine alors, les félicitations sont faites en route pour le lycée Corrot. Les bouchons, et cette chaleur écrasante, mon père a enfin investit dans une voiture avec la clim', c'est une révolution !


« Alors, tu as pu regarder les appareils photos comme je t'avais dit, ceux que Patrick m'a conseillé tu sais, le 650 je crois de chez Canon.

 - Oui ba je suis allé sur le site de Canon et j'ai fait quelque forum quoi, après comme je m'y connais pas je peux pas trop dire mise a part qu'il a l'air super.

- Papa c'est quoi un reflex ?C'est un appareil qui fonctionne avec des miroirs je te montrerai c'est dur à expliquer Antoine. »

 

 Après la conversation sur les reflex, puis sur la belle-mère et quand même, nous arrivâmes au lycée, un lycée vraiment énorme 6 bâtiments un par digne de Versailles

 

« Vous arrivez une heure en retard jeune homme vous savez ?

 - Avec les bouchons on à pas pu faire autrement désolé. 

- Tans pis, alors admis ?

- Oui, Melman-Lartos Jérémie.

- Veuillez signer ici s'il vous plaît. »

 

Ce demeuré de l'académie qui appuie la où je devais signer comme si j'allais signer sur le prénom d'un autre, je suis admis j'ai mon BAC alors me prend pas pour un débile, me dis-je intérieurement. Retour à la voiture, direction mon ex internat, comme je l’appellerai dorénavant avec sourire, même si j'y ai passé des mauvais moments, des bons en subsisteront aussi. J'ai alors regardé ce bâtiment pour la dernière fois, sans réels regrets, puis encore la voiture pour aller manger. Heureusement une pizzeria pas loin, on va pouvoir se remplir la panse enfin, mon père criait famine depuis une heure.

Toutes ces formalités enfin bouclées, mon père, mon petit-frère et moi nous dirigeons dans Paris, au 18 faubourg de Poissonnière, proche des grands boulevard, mon ancien quartier. La-bas se trouve une boutique spécialisé dans l'image et le son, que notre ami avait recommandé a mon père pour ses prix imbattables et ses conseils formateurs. Le canon EoS 700 ? ou le Nikon D5100, le choix fut rapide avec le budget et les conseils du vendeur : « Vous avez la même qualité chez Nikon pour 100euros de moins ». Il nous sort la bête, un très bel engin, pas trop lourd, le zoom compris dans le pack. Je n'ose regardais dans l'objectif pour le moment, j'attends d'être face à ma première photo pour cela. Achat fait, tout d'abord je n'y crois pas puis je remercie mon père et il me ramène chez ma mère. Je déballe l'engin encore une fois devant eux pour montrer a ma mère et mon beau père l'effort de mon père puis je vais dans ma chambre. Des textos fusent :

 

« Quelles sera ta première photo ?

 - Hum je sais pas mais j'aimerais beaucoup que tu sois dessus. Répondis-je.

- Ah oui comment ça ? Marie me demanda.

- J'imagine bien Montmartre, rempli de touriste, toi sur la balustrade en plein milieu, moi faisant un gros plan sur toi voyant ton sourire et « cliclic » la photo serait prise.DSC 0023

- Oh oui j'avoue que ça serait une très belle photo et j'aimerai vraiment être ton modèle pour. » Je sentis la timidité dans ce texto mais une véritable envie également.

 

J'étais alors dans ma chambre contemplant cet appareil, faisant une petite mise en scène pour l'envoyer à des amis par MMS.IMG 2734-copie-1 Puis Je vis qu'il était trois heures du matin, après une discussion plutôt passionnante comme chaque soir avec Marie je n'étais toujours pas fatiguée, mais elle dormait depuis une heure déjà. Je décidai alors de faire une photo de dehors, pour enfin tester ce Nikon D5100. Bon il faisait nuit, tant pis apparemment il y avait un très bon zoom. Je passai alors la sangle sur mon épaule, mis la batterie et « ON ». Je mis alors l'œil dans l'objectif et fut aspiré par celui la pour me retrouver en plein jour, à Montmartre, la place était bondé de touriste, exactement comme ma description à Marie. Et elle, elle se tenait sur cette balustrade devant moi, je n'y croyais pas. Mon doigt appuya sur la gâchette, la photo était prise.

 

 

Voila le début de ma nouvelle histoire, les photos sont de moi, celle du Sacré-Coeur prise avec le fameux D5100. Qu'en pensez vous ? Aimeriez vous la suite ou non ? 

Merci de votre lecture.

Partager cet article
Repost0
10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 02:38

Voila que je publie mon deuxième article, une vieile nouvelle que j'avais commencé à écrire, qui aujourd'hui ne m'inspire plus mais écrire ce début d'histoire m'avait beaucoup plu !

 

Chapitre Premier

 

Les portes du métro se refermèrent sur ses pas, à bout de souffle il se précipita sur un siège vide, à côté d'une vieille dame ; attristée par son état elle l'interpela :


« Vous avez soif jeune homme ?


-Oui madame, je suis presque en retard pour une conférence qui me tient à cœur »


Le gringalet haletait tout en parlant, sa voisine lui tendit une bouteille d'eau qu'il vida presque d'un trait et, pour se faire pardonner, il lui tendit quelques pièces de monnaie. La voix robot articula le nom de sa station : « Trocadéro ».


« Désolé madame, je descends ici, encore merci et bonne continuation. »


La dame étira un sourire sur son visage ridé alors que le jeune homme s'engouffrait dans les boyaux du métro pour trouver la sortie. A grandes enjambées il y parvint puis se dirigea avec hâte vers les marches du Trocadéro. Il avait trouvé sur internet trois jours auparavant une annonce stipulant qu'un professeur peu connu y donnerait une conférence gratuite sur des mythes et légendes en tous genres. Uriel était passionné depuis toujours par ces histoires invraisemblables, parfois vraies, souvent fausses, mais cela lui importait peu. Ces histoires le faisaient rêver et lui permettaient quelques évasions.


Cette passion le prit tout jeune, un peu avant d'atteindre la dizaine d'années. Grâce à ce célèbre écrivain, Tolkien, et sa série phénomène « Le seigneur des anneaux ». Cet univers passionna le garçonnet, et par chance ses parents, bretons, l'avait nommé Uriel, prénom de racine celtique, ancêtres même des bretons. Avec un prénom pareil, le petit garçon ne pouvait que rêver de chevalerie et d'aventures. Plus tard, avec sa mère Michèle, ils passèrent dans une ruelle proche de la gare St Lazare, et découvrirent une boutique spécialisée dans des petites figurines, cela devint pour Uriel un vrai hobby, les warhammers. Avec son père Philippe, ils s'amusèrent des heures durant à recréer les batailles de Tolkien. La chambre du fils était devenue un entrepôt où les figurines se comptaient par centaines et non dizaines, une collection digne des professionnels. Les Sartel s'étaient pour ainsi dire tous impliqués dans la passion du jeune homme et encore maintenant, à la majorité acquise, il s'exerçait avec des amis à d'épiques batailles des nuits entières.


Uriel arriva enfin aux marches tant célèbres. L'orateur et son auditoire étaient déjà en place. Il prit place le plus proche possible et s'adossa à son sac à dos, prêt à écouter le professeur Dalor.


Contrairement à ses attentes, il y avait foule autour du monument, touristes, parisiens, français, peu importe il y avait du monde et cela ne devait qu'être on ne peut plus plaisant pour le professeur. Enfin il était midi, le récit allait commencer.


« Mesdames, messieurs, enfants et rêveurs, je suis le professeur Dalor. Je suppose que vous avez vu mon annonce sur internet, belle technologie qui vous a, pour la plupart, rassemblé autour de moi. Je vous demande alors dans le respect de tous, de faire le moins de bruit possible tout le long de mon histoire fabuleuse et troublante. Rien ne vous empêche de partir si l'envie vous prend, j'offre ce récit à qui le souhaite. »


Le vieil homme bu une courte gorgée d'eau et commença alors, dans une posture décontractée. Uriel bu littéralement les paroles qui émanaient de la bouche de Dalor. Les rangs autour de lui se vidaient peu à peu et il en profita pour se rapprocher du conteur qui continuait son récit .


«Vous êtes Altior si je ne me trompe ?


-Bien très bien, je vois que quelqu'un a dû te raconter l'histoire de notre bataille comme tu dis. Alors sais-tu pourquoi je suis encore en vie ?


-Non pas du tout on ne me l'a pas racontée. Mais quelque chose me fait pressentir que vous allez me le dire. N'est ce pas ? »


Le vieillard eu un petit rictus nerveux et répondit :


« Et bien vois, on m'avait désigné comme le chef de la coalition qui dirigeait la révolte d'il y a huit ans, déjà. Sa phrase se termina par un soupir, puis il reprit son souffle et continua. Lorsque nous perdions la face, le roi a sommé ses soldats ... »


Dalor stoppa net le récit. Les deux individus se faisaient face, tout le reste de l’auditoire avait disparu. Dalor regarda alors Uriel dans le plus profond de ses yeux.


« Mon histoire t'intéresses donc vraiment ?


-Oui monsieur, j'attends avec impatience votre conférence depuis que j'ai trouvé votre annonce. Ce genre d'histoires me passionne.


-Bien, très bien, mais celle-ci était pour ne rien te cacher une épreuve, je la trouve ennuyante à mourir. Que dirais-tu de venir boire un verre avec moi ?


-Euh … Avec plaisir monsieur.


-Appelles moi Homer je t'en prie !


-Euh … je ne veux pas paraître effronté, mais Homer Dalor, vos parents ne vous aimez pas ?


-Ils sont joueurs ... »


Les deux individus se dirigèrent vers la Tour Eiffel et montèrent au restaurant. La vue était surprenante.

 

 

La discussion entre les deux individus fut révélatrice pour le jeune homme. Et pour finir, les deux hommes conclurent que Uriel pourrait aider Homer après ses cours. Mais le professeur pourrait choisir de le renvoyer s'il estimait que ce dernier avait mieux à faire. Le pacte était clos. Uriel rentra chez lui, il rencontra sa mère qui lui demanda pourquoi il rentrait si tard, en effet il était déjà onze heures du soir lorsqu'Uriel pointa son nez chez lui. Son père retrouva sa femme et son fils dans la cuisine pour écouter ce dernier raconter ses exploits. Lorsque le jeune homme leur avoua enfin qu'il allait aider le professeur, après ses cours, ses parents étaient fiers, mais inquiets à la fois. Leur fils, qui passait ses journées à jouer à des jeux avec ses amis allait rentrer dans une vie plus ou moins active. Et s'il n'arrivait pas à suivre le rythme ? Serait-ce au détriment des études ?


« Uriel, je veux qu'une chose soit claire, je suis d'accord pour que tu aides ce monsieur, mais d'abord, tu rentreras faire tes devoirs et je veux que, que ce soit ta mère ou moi-même, nous sachions où tu es. Si cela est respecté, tu pourras y aller.


-Oui papa, ne t'inquiètes pas pour ça, je peux même te le dire maintenant, sa salle d'étude est sur les quais, juste avant le pont neuf.


-Et tu es sûr que ce n'est pas dangereux et que c'est permit ?


-Apparemment il a eu l'accord des autorités, le professeur Dalor est reconnu tu sais.


-Oui Uriel, mais toi tu es mon fils et c'est moi ton autorité.


-T'inquiètes ça ira »


Uriel s'en alla dans sa chambre en faisant un clin d’œil à ses parents. Il ferma sa porte et s'affala sur son lit. Il sortit de son sac un livre. Un livre à couverture rouge sang et relié avec des fils d'or, tout comme l'écriture sur la couverture, brodée en fil d'or, « Légende d’Outre-terre ». C'est ainsi que le manuscrit s'appelait, l'épaisseur présageait une histoire de longue haleine, et malheureusement Uriel n'était pas un grand lecteur, mais il avait envie de découvrir ce que renfermait ce livre mystérieux. Homer lui avait conseillé de l'ouvrir une fois seul uniquement et d'y prendre garde. Uriel tourna alors la couverture pour commencer la lecture. Il éternua une fois, puis deux, trois, quatre. Il referma aussitôt le bouquin. 970891 10201085517438039 782869146 nUne bourrasque d'air avait ouvert ses fenêtres lorsqu'il lu la première ligne et un nuage de poussière se dégagea de la page.

 

 

« A table Uriel »


Il posa le livre dubitativement sur son bureau, puis descendit les escaliers pour aller manger.

 


Chapitre Second

 

Un rayon de lune balaya la chambre d'Uriel et finit sa course sur le livre rouge et or. Le jeune homme se réveilla, regarda son réveil : 4:19. Une injure fusa de sa bouche. Il émergea et constata que le livre était éclairé.

« Au point où j'en suis … » 


Uriel se leva et s'assit à son bureau, le coude sur la table et le poing sous sa tête pour se reposer. La première page s'ouvrit quand il posa sa main dessus, elle fut emportée par la couverture.

« Mais ces quoi ces conneries, d'abord un nuage de poussière, maintenant il s'ouvre tout seul, je rêve ou quoi ? »


Uriel pensait à voix haute. Il avait l'impression que le livre avait une âme. Il agissait seul. Uriel commença à lire, mais il entendait les mots dans sa tête, comme si quelqu'un lui faisait la lecture a voix haute. Une page, puis deux, la troisième se tourna, il réalisa enfin se qui se passait et referma le livre. Il retourna sous sa couette et s'y blottit. Quand il retrouverait le professeur, ce soir, il lui en parlerait.


Au petit matin, sa mère le trouvant souffrant, elle le laissa dormir et appela son lycée pour prévenir de son absence. Il dormit jusque dix-sept heures, heure du rendez vous avec Dalor. Machinalement il se leva, prit le livre prévint sa mère et leva le camp. Dans sa démarche on eut dit un robot, il enchaîna les étapes du parcours sans mal, métro, bus, puis arriva devant la porte au pont neuf.


« Entres mon jeune ami et bienvenue dans mon « repère » si je puis dire. Alors tu as commencé la lecture ?


-Vous ne m'avez pas tout dit, ce livre n'est pas normal il est « ensorcelé » et ce n'est pas réel, alors je veux que vous m'avouiez la vérité sur le champ ! »


Les paroles d'Uriel résonnaient dans l'enceinte de la pièce. Dalor l'invita d'abord à s'asseoir dans un des fauteuils de la salle, et il en fit de même.


« En effet ce livre n'est pas comme les autres. Il a traversé les âges et s'est retrouvé entre mes mains, je l'ai déniché à la bibliothèque François Mitterrand, et on ne m'a jamais demandé de le ramener. Alors tu te doutes bien, un objet pareil, je l'ai gardé !


-Mais il a une âme ? Il agit seul ? »


Homer expliqua alors qu'à la suite de diverses recherches, de sources pas très sûres, et de quelques discussions sur des forums de passionnés d'Heroïc Fantasy, ce livre ressemblait à celui d'une légende urbaine, que seuls quelques gens connaissaient. Après quelques rencontres par-ci par-là, on lui avait dit que c'était le livre d'Hedrahyl le déchu.


« Attendez, vous êtes en train de me dire qu'il s'agirait du livre d'un héros de compte, un personnage fictif de vielles légendes ? C'est impossible je ne peux vous croire professeur !


-Attends mon jeune garçon, réfléchis-y bien, pourquoi le livre aurait une âme comme tu le dis, pourquoi aurais-tu entendu ces paroles dans ta tête ?... »


Trop tard, Uriel était partit. Il rentrait chez lui. Une demi-heure plus tard, il franchit le seuil de chez lui, il ne prit pas la peine de saluer ses parents et alla se coucher. Sa mère s’inquiéta de son état et en parla à son père qui voulu savoir ce que son garçon avait. Il entra alors dans la chambre d’Uriel, et le vit sous sa couette. Il s’assit sur le lit et lui parla d’une voix grave.


« Uriel, que se passe-t-il, ta mère m’a dit que tu étais rentré précipitamment sans même prendre la peine de la saluer. Ce n’est pas tes habitudes alors je veux que tu me dises ce qu’il se passe. »


Il n’eut pour réponse qu’un simple grognement, il secoua un peu son fils mais cela eu le même résultat. Alors nonchalamment il redescendit dans le salon et reprit la discussion avec Michèle. Leur fils allait mal et ils étaient incapable de l’aider, n’y a-t-il pas pire frustration pour un parent ? La nuit puis la journée s’écoula sans pour autant que Uriel daigne sortir de sa chambre. Ses parents voulurent appeler un médecin pour un diagnostic clair. Vers dix-huit heures, ils prirent alors le combiné et composèrent le numéro, sans aucun délai une voix rétorqua qu’un médecin viendra dans les plus bref délais.


Il était dix-neuf heures, une voiture s’engagea la rue dans un fracas tonitruant. Un homme descendit de la voiture, sa serviette sous le bras. Il se dirigea vers l’immeuble qu’on lui avait indiqué. Il se présenta devant l’interphone et chercha des yeux le nom : Sartel.


« Ah il est la ! »


Un bruit sourd survenu, le corps de l’homme venait de tomber. Homer se trouvait la, une seringue dans la main, il avait drogué le médecin. Il cacha alors le corps puis sonna à l’interphone.


« Oui ?


-Bonjour, « SOS médecin ».

 

-C’est au second ! »

La porte s’ouvrit, Homer se présenta comme étant le médecin envoyer par la société SOS médecin et demanda alors où se trouvait le malade. Michèle lui indiqua alors la chambre d’Uriel et le charlatan qu’était devenu Homer ferma la porte derrière lui. Uriel se retourna et vit alors son ancien professeur duquel il avait déserté il y avait peu de temps.


« Que faites vous ici ! Vous n’avez pas le droit de venir importuner ma famille ! Sortez !


-Du calme jeune homme, je suis venu pour t’expliquer la situation, paisiblement je te prie. Es-tu d’accord pour m’écouter ?


-Oui professeur.


La réponse du jeune garçon fut machinale comme si elle n’avait été aucunement réfléchie, mais il était conscient de ce qu’il venait de dire et ses yeux devinrent semblables à ceux d’un poisson. Il ne pouvait qu’écouter et en aucun cas s’opposer à la pensée de son interlocuteur.


« Tu seras la seule oreille à qui j’aurais énoncé cette histoire depuis bien des années alors quoi que tu en penses je te demanderais d’être réceptif a mon discoure … »


Uriel fit un hochement de tête, bien que dubitatif, il approuva Homer car sa curiosité et son désir d’entendre une fabuleuse histoire, qu’elle soit vraie ou fausse, de cet home l’enchanté.


« Depuis la nuit des temps, des créatures foulent la Terre que nous appelons de nos jours « la planète bleu ». Comme tu as du l’apprendre durant ta scolarité, il y eut d’abord les dinosaures, puis les mammifères et l’homme arriva en cette période. »


Homer poursuivit son récit durant plus de quatre heures. Puis il se tut, et attendit la réaction d’Uriel. Assit sur son lit, il paraissait assommer par les paroles du vieillard. Homer alla voir sa mère et lui demanda alors quelque chose à boire, quelque chose comme du thé, précisa-t-il et sans poser de question elle s’exécuta. Il retourna voir Uriel et lui tendit le verre, celui-ci le bu d’un trait. Puis interrogea Homer sur un point :


« Qui sont mes parents ? »


 

 Effectivement, cela avait été abordé. Le professeur avait raconté à son jeune élève l’histoire de l’ancien monde. Mais pas l’ancien monde tel que la société actuelle le connaissait. L’ancien monde, le monde qui précéda la Terre.


 

Fin de l'extrait

 

Explication de la photo : Lorsque j'avais prise cette photo la semaine dernière l'instant était très éphèmère et presque mystique, et ce soir en relisant ce bout d'histoire j'ai trouvé qu'elle aurait correspondu à merveille avec l'ambiance de la fin du premier chapitre.

 

Votre hôte espère que votre satisfaction est au rendez-vous !

Partager cet article
Repost0